Le Picton 272, janvier-février-mars 2023
– I o z-ai vu dire par Geneviève Charlot, page 17 : Subllot et Chambord
– D’une langue à l’autre par Jean-Christophe Dourdet, page 13 : Les mots des insectes, en poitevin-saintongeais et occitan.
Conférence d’Eric Nowak : « A la recherche de la limite orientale des parlers poitevin-saintongeais, aux confins des parlers berrichons et marchois »
L’intervention d’Eric Nowak lors du colloque du CNRS en octobre 2022 en Creuse au sujet du résultat de ses enquêtes linguistiques de terrain réalisées depuis 2018 en Indre, Creuse, Vienne et Haute-Vienne vient d’être mise en ligne sur la chaîne du CNRS.
Sur le bout des langues par Michel Feltin-Palas (L’Express)
Pourquoi trois langues disparaissent chaque mois
Le déclin de certains idiomes s’explique en partie par les migrations vers les villes, mais surtout par la colonisation et les décisions politiques.
L’accent, une discrimination plus puissante que la couleur de peau
Aussi surprenante qu’elle puisse paraître, cette assertion est désormais démontrée par les neurosciences.
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Show comments Hide commentsUne précision pour la coccinelle :
« chen nous » (dans le Moncoutantais) elle est associée aussi à l’école :
i é trou vu dire :
« marivole vole vole sur le toit de mon école ».
O n’arét bé pre dire que les gens de Mèïnqueoutont (graphie très personnelle) étiant pu fèïns qu’alleurs !
Bien amicalement.
Violaine de l’Arcup